Au sujet de mes précédents récits « Impunitions » et « l’Odeur Âcre de la Peur », plusieurs lecteurs m’ont fait la remarque qu’on y mourrait beaucoup et facilement…

Ces remarques, que je discute pas, m’ont conforté dans le propos qui était le mien : mettre en évidence une de nos incohérences.

En effet, nous savons tous que nous sommes atteints, dès la naissance, de cette maladie mortelle qui est la vie ; pourtant chacun existe comme s’il était immortel. Pourtant aussi, la vie, celle des autres surtout, a peu de valeur.

Les nouvelles qui suivent sont des historiettes paraboliques qui illustrent ces paradoxes, les nouvelles se veulent donc contenir un conseil, si on veut le lire. Elle se veulent avoir aussi une morale, …mais si, mais si…

En conséquence, si on y meurt toujours autan